"Les femmes regardaient Booz plus qu'un jeune homme,
Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand."
(Victor Hugo)
La femme est sotte, faible, hystérique, l'homme est grand, fort, sage.
La femme dépense, l'homme achète. La femme ignore, l'homme apprend. La femme est belle, l'homme pense.
Entre l'homme et la femme les différences s'accentuent encore plus lorsqu'ils prennent de l'âge. Tandis que l'une vieillit purement et simplement, l'autre s'ennoblit.
La femme avec l'âge blanchit, devient cendreuse, perd ce qui faisait, plus jeune, son principal intérêt : l'éclat. L'homme tout au contraire mûrit idéalement avec les ans, prend de la valeur en s'argentant. Lorsque la première entre dans la plus infâme décrépitude physique et mentale, le second devient un marbre, un socle, un mythe. L'homme se déifie pendant que la femme s'amenuise.
La femme est une poule d'eau, l'homme un lion.
De la tête aux pieds l'homme de grand âge est noblesse, hauteur, force. Il sourit comme un seigneur, mange avec des grâces célestes et viriles, détaché des choses vulgaires avec grande classe. Digne, beau, magistral, exquisément intemporel dans sa toge aux plis esthétiques (car le vieillard porte le linge blanc avec une naturelle élégance pleine de simplicité et d'authenticité), l'homme âgé impose le respect. Le mâle qui a vécu a le front antique, ses allures sont olympiennes, ses pensées profondes, radieuses... Et quand il parle, de ses lèvres marmoréennes sortent des sentences immortelles.
La vieillarde n'est que petitesse, mesquinerie, avarice, acrimonie, charogne hurlante, parfaite abjection, objet de répugnances et sujet de moqueries. Mais surtout elle est l' image sordide, immonde de l'originelle beauté gâtée par le temps. La femme vieille incarne la marche inéluctable de Vénus vers les gouffres de Vulcain.
Le patriarche est auguste, la femelle devenue inféconde est grotesque, fielleuse, pitoyable.
Les jeunes filles sont attirées par le noble centenaire au pas réfléchi et au regard clair. Mais quel éphèbe aurait l'idée de poser ne serait-ce qu'un demi regard sur une sorcière de soixante-dix, quatre-vingts ans ? La déchéance n'a jamais allumé aucune flamme. Mais la sagesse, la gravité, la majesté sont de mâles trésors que toutes les femmes -les belles encore plus que les autres- cherchent en secret.
Ce qui est encore le signe le plus certain de la valeur grandissante de l'homme qui prend racine dans le temps.
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L'homme sous sa fatuité est faible, timoré, sournois, la femme est belle, forte et sensée
RépondreSupprimerLa femme utilise à bon escient l'argent que l'homme gagne pour elle. La femme charme, dirige, l'homme obéit, subit.
Entre l'homme et la femme les différences s'accentuent encore plus lorsqu'ils prennent de l'âge. Tandis que l'un décline mollement, l'autre s'illumine.
La femme avec l'âge blanchit, s'assagit, gagne l'éclat de l'esprit et du corps. L'homme tout au contraire se rapetisse avec les ans, se tortille, s'amenuise, perd son peu de valeur originel en se dégradant.
Lorsque la première entre dans l'âge sage mentale et physique, le second se ramollit , s'étiole, bave, boitille, bafouille. L'homme se meurt pendant que la femme renaît.
La femme devient un cygne blanc, l'homme de paon est passé à gros porc.
De la tête aux pieds l'homme de grand âge est petitesse et lubricité. Il ricane comme une hyène, pue le porc, ne bande plus. Handicapé, laid, quantité négligeable, ridiculeusement voûté dans sa toge aux plis ridés (car le vieillard porte le linge blanc comme une camisole de force), l'homme âgé impose la compassion. Le mâle qui a vécu a le front délabré, ses allures sont mesquines, ses pensées défaillantes, pornographiques. Et quand il bavasse, de ses lèvres sortent des postillons pestilentiels.
La femme âgée n'est que respect, joie, générosité, tolérance, bonté, parfaite dignité, objet de désirs et sujet d'envies. Mais surtout elle est l' image radieuse de l'originelle beauté atténuée par le temps. La femme âgée incarne la marche d'une prêtresse qui a su profiter des plaisirs de la vie.
Le mâle gâteux est impuissant, la femme devenue inféconde grâce à la justice des Dieux, savoure l'amour dans toute sa puissance.
Les jeunes filles sont attirées par le centenaire riche. Candides et sages déjà ! Mais l' éphèbe préfère proposer son corps de vierge à la femme érudite. Son prestige de mâle, il l'obtiendra de sa flamme. Car l'abondance, la générosité, la luxuriance, sont de féminins trésors que toutes les femmes -les belles encore plus que les autres- détiennent dans leur pénombre.
Ce qui est encore le signe le plus certain de la valeur grandissante de la femme qui plante ses racines dans le temps.
A ma zone
Bonjour Amazone,
RépondreSupprimerTrès drôle, quoique convenu.
Raphaël Zacharie de Izarra
De la femme l'on dit sur son parcours de vie
RépondreSupprimerC'est une belle enfant
C' est une belle femme
C' 'est une belle plante
De l'homme, l'on dit sur son parcours de vie:
C'est un jeune con
C'est un grand con
C'est un vieux con
Les destinées sont déjà écrites.
Je suis contre l'égalité des sexes.
A ma zone
Vous êtes mignons tous les deux ! Vous formeriez un joli couple.
RépondreSupprimerChacun rêvant son idéal, chacun se vautrant impunément dans son propre ridicule.
Bon Izarra garde l'avantage de l'ouverture, A-ma-zone ne faisant que répliquer sy-mé-trique-ment, mais c'est kif kif bourricot vraiment !
(L'un(e) est secrètement fou de l'autre - si ce n'est les deux - à vous de trouver lequel(le) amis lecteurs!!)
Alpha
bonjour la misogynie...c'est effrayant.
RépondreSupprimerAlpha
RépondreSupprimerIl serait insensé que je me vautre dans ton ridicule. Vu ton com, tu es une romanesque refoulée qui à perdu le goût du rire.
Mes réponses aux textes de Izarra n'avaient d'autre ambition que de se vouloir drôles tout simplement.
Quelle tristesse de constater que ces écrits sarcastiques sont lus avec autant de sérieux.
A ma zone
Bonjour,
RépondreSupprimerMoi je dis bravo à Amazone. Le texte d'Izarra relève du pur parti pris, comme elle l'a brillamment montré, sur le même ton docte et définitif que lui.
Merci à elle.
Une fille.
Je rajoute aussi que l'homme prend du ventre avec l'âge, une espèce de balle ronde qui vient obscurir sa silhouette d'un effet de bosse inadéquate, de fausse grossesse, de basse soumission au régime de la table...
RépondreSupprimerQuand aux vérités féroces, il serait bon de commencer par voir une photo de ce littéraire énervé.
Une fille
la même
nb : et je suis d'accord avec Alpha. Marions-les, et n'en parlons plus...
RépondreSupprimerFille,
RépondreSupprimerToujours les hommes jalouseront les lignes harmonieuses et le pouvoir d'enfanter des femmes. Innocents, ils s'imbibent de bière pour obtenir ce que tu nommes si justement: " une espèce de balle ronde qui vient obscurcir sa silhouette d'un effet de bosse inadéquate, de fausse grossesse,"
Laissons-les s'abreuver, ils ne savent pas ce qu'ils font...
Anonyme,
" je suis d'accord avec Alpha. Marions-les, et n'en parlons plus..."
Puis-je avoir l'adresse de ton agence matrimoniale STP ? Il faut impérativement que je l'évite !
Pitié pour les hommes...
A ma zone
j'ai enfin compris pourquoi je suis contre les hommes
RépondreSupprimertout contre
j'ai enfin compris pourquoi je suis contre les hommes
RépondreSupprimertout contre
C'est indéniable Raphaël et Amazone sont faits l'un pour l'autre, vivement le mariage !
RépondreSupprimerPutain, comment tu parles de ma mère?!
RépondreSupprimerDepuis l'invention du pantacourt, les hommes ne peuvent plus prétendre détenir un avantage quelconque sur le reste du monde en matière de dignité ni de sagesse. Pas même toi, RZI!
RépondreSupprimer(que tu n'en portes pas toi-même ne change rien au drame, innocent: c'est notre péché originel moderne, il fait tâche sur le monde sans aucune distinction, et les générations à venir en sont marquées dès aujourd'hui!)